Portail Fer


Ce comptoir pour apercevoir les différents travaux de F.R. (François Richard), traceur, recompositeur.




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Introduction - Mise à jour 2013



27/09/2009

J'étais là

Paru dans la revue Sarrazine en 2010.



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Livres



Loire sur Tours



Éditions Le Chasseur Abstrait. Sortie le 15 juillet, commandable ici



    «Deux passions illuminent l’œuvre de François RICHARD : la langue et le texte. Ses livres proposent toujours un parcours à la fois lyrique - don de la langue -, et narratif - art de l’expérience. LOIRE SUR TOURS est étrangement fluide, vrai et faux, facile et complexe, phlogistique de l’égarement et de l’équilibre, mais aussi solide qu’un métier arraché à l’existence. Les photographies de Christophe LAURENTIN s’appliquent avec non moins d’étrangeté romanesque à cet itinéraire soigneusement mis en page.»


L'entretien de présentation du livre est


Une carte postale souvenir des rues de Tours à ce moment


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Esteria



Éditions Le Grand Souffle, 2007



    «Esteria / Hephaïstos, même combat, même forge. Le rire de Joyce refondant le langage. Précision d'orfèvre, fièvres d'or pur, dentelles de vocables serties d'un tintement inouï. Des phrases électriques giclent et nous brûlent les doigts comme des serpents de feu. Esteria n'est pas à lire. Mais à dévorer. Sa poésie se donne à lire comme un sanglot de chair, un fragment de cri, un envol d'oiseau dans la tempête furibonde des mots et des affres de la vie.»

André Murcie, Situation critique! n°1, partie 1, partie 2


    «François Richard réussit le livre que tout amateur - ou expert es poésie rêverait d’écrire, le pont parfait entre les anciens et les modernes, les références qui ont fait l’histoire poétique et l’énergie, la lucidité et les questionnements d’aujourd’hui.»

Frédéric Vignale, Le Mague.net


    «La beauté de la langue de François Richard ne tient pas aux déplacements opérés par la représentation métaphorique, mais à sa manière de lier ce premier travail à celui d’une effraction de la langue, d’une torsion, de coupures sans sutures qui viennent l’accélérer, l’accidenter, la provoquer au sens.»

Philippe Boisnard, Libr-critique


    «Esteria, une Epochée vibratoire phonématique où la forme textuelle qui en émane, révèle prodigieusement le sens profond des traces et impacts laissés par une langue orageuse, toute crépitante d’arcs […] les éditeurs du Grand souffle ont honoré un très grand texte tonal.»

Régis Nivelle, Revue d'Art, de Littérature et de Musique, article migré vers Lithoral.


    «Lire François Richard est assister à la geste tourmentée d’une écriture qui parie sur l’origine : l’horizon en travers du corps, au rebours de toute attente.»

Tristan Felix, La Passe n°5, à lire notamment pour la traduction Pasteria.


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Vie sans mort



Éditions Voix, 2003



    «L’exigence du travail de François Richard a abouti à la publication de Vie sans mort chez Voix éditions. Texte portant en lui la prolifération d’une pensée en crise tétanique d’existence.»

Philippe Boisnard, Libr-critique


    «C’est un livre à vif. C’est là un chantier d’écriture d’une extrême densité, semblable à celui d’un mineur de fond. […] Oui, seuls les mots peuvent prétendre à l’absolu. C’est en tout cas le défi que leur lance cet écrivain d’envergure.»

Alain Helissen, La Polygraphe n°30-31


    «L’auteur tente l’impossible : faire percevoir d’autres sensations. Il y parvient ! Un premier livre qui révèle un écrivain fort.»

Françoise Favretto, Chroniques errantes n°20


    «François Richard, c’est l’ascèse royale de la rébellion. Il s’agit de se révolter contre soi. Au moment où la plume perfore le papier, la société n’existe plus. Il faut se défaire de toutes ses pelures subsidiaires. Ne pas voir le mal, chercher le mythe. Se lancer à âme perdue dans la vie, pour mieux se dépouiller de son corps. Lorsque l’on a tordu le cou à la dernière des chimères, il reste encore l’étincellement du dieu unique qui ressemble à s’y méprendre à son propre reflet.
Toute royauté humaine est de droit divin. L’écriture est le sceau. Les versets sont déversés. Comme autant d’écailles arrachés au roi-serpent qui s’insinue en nous. Nous avons toujours l’impression que derrière notre derme, c’est le monde qui est nu. Vie cent morts de nos métamorphoses idéelles. Le poète s’illimite. Mon royaume pour un Serpent. Ou j’expire sur Cène.

Le moins que l’on puisse dire, c’est que Richard cœur de François ne se renie pas. Si le poète est un dieu, le dieu ne serait-il pas un poète ? Ce premier livre est aussi le premier livre.»

André Murcie, Bucéphale n°11


    «C’est NUS que nous devrions entrer dans le Texte, sans armes et sans bâton de pèlerin. Mais NUS nous ne sommes plus. Au fil du Texte irradié, nous déposons les armes. Cette lecture nous dépouille, oui, mais nous ne capitulons pas. Car la lâcheté de nos trêves routinières nous explosent à la gueule, ces radiations les piétinent… Entre le poème apostat et ma lecture hérétique, des inteférences et des alliances. […] Je ne veux plus être sourde aux cliquetis des chaînes, je veux entendre le bruit métallique des fers croisés.»

Axelle Felgine, Aux textes irradiés, hommage à certains livres dont Vie sans mort, à venir sur le site des éditions Le Mort Qui Trompe vers 2007, avant que ce site et ces éditions ne disparaissent en ne laissant quasiment aucune trace.


    «Une tension rimbaldienne menacée par les gouffres anorexiques.»

Daniel Leuwers, Autre Sud (automne 2003)


    «Texte étonnant qui ne se laisse pas lire, tout y est tellement compréhensible qu'on se passe du sens. C'est pourtant le livre d'un jeune écrivain. […] Ce livre a la puissance d'un cante jondo: le corps se plie quand le texte se plie et c'est un bon moment au fond.»

Patrick Cintas, RAL,M n°20 (bas de page)


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Raison basse

– anthologie collective - participation à ce livre mutant, organique


a


(éditions Caméras Animales, 2007)


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Autres publications livres


Participation à l’ouvrage Enquête sur le roman (éditions Le Grand Souffle, 2007).



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Images



Lusilem, 2003


Mûes, 2003 (cliquer sur chaque image successive)


La Mélancolie d’Abgar («Livre Pauvre» réalisé avec l’artiste Marie-Noëlle Morice pour l’exposition itinérante (éponyme) de Daniel Leuwers, et pour son ouvrage anthologique).


Sismogrammes



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Initiation de gotha



2009, travail avec le collectif Alma Fury sur l’initiation du projet Volume sonore.


Le texte Logologique du oui constitue aussi le travail d’écriture d’Hefer cette année 2009.


De 2003 à 2007, co-fondateur et co-directeur des éditions Caméras Animales.


Un texte périphérique : Créella (2005 ; paru dans la revue Artslivres), où est éludé le rapport entre l’action de Caméras Animales et celle de François Richard individuellement ; entre CA et FR.



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F.R. dans les revues

 


Revues papier


La Sœur de l’Ange (défunte…), Sarrazine, Chroniques errantes et critiques, Alcôve, Pris de Peur (défunte…), Revue des Belles Lettres, Chantier


Frère d’aventure de la revue vive La Passe (papier-terre des traductions unilingues), depuis le numéro zéro. Et voir l’entretien avec Mathias dans la revue Carbone (défunte en dernière minute…).


Auteur de la préface du livre Saétas!  de Régis Nivelle, parue non pas dans le livre mais dans le Cahier paru simultanément et conjointement, aux éditions du Chasseur Abstrait.


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Revues en ligne


Dans La Revue d'Art, de Littérature et de Musique,  a été mis en ligne le travail plastique de Stéphanie Sautenet et de F.R. : Sseferia. Un travail en forme de forêt de livres-objets et de livres-monstres.


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A lire également : Parlez-leur de nous dans la Revue des Ressources.



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Danse



Frère d’aventure du lancement de la compagnie La Lisière des Marges en 2003, vive depuis. [Par exemple...]


Langeais, février 2003 : lecture mémorable en mouvement, avec le défilé du couturier Warem (association En Tous Sens) ; la seule trace qui en reste étant hélas le texte lu, écrit d’après Warem.



Trois performances avec Ly Thanh Tiên :

    festival des Actes Temporaires (Auriac du Périgord, 2002);

    festival Total Meeting, de 12h40 à 13h15 (Tours, 2005);

    et surtout au sein de l’exposition Le Mutant ordinaire (expo qui comprenait entre autres Sseferia), à la Médiathèque de La Riche le 28 janvier 2006, le seul jour de neige et de glace de l’année, impraticable. Meilleures 20 mn de danse des deux  lecteurs : reprise et prolongations à suivre, plus tard, ailleurs.



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Enregistrements



F.R. a pratiqué le cut-up jusqu’à un point extrême pendant une dizaine d’années.


Ci-dessous, deux hommages qu’il rend à France-Culture par cette pratique :

    des secondes de Clair de Nuit, émission-culte et tardive d’Irène Omélianenko et Jean Couturier, dans les années 80-90, véritable bastion et laboratoire d’expériences radiophoniques et d’émotions pures;

    et d’autres secondes de radio, issues des mêmes années.


Autres enregistrements:

    Héfer la vie

    Betsabée-Imogen

    Exu

    Beanpole-Lison

(conçus à partir de sessions du groupe Alice, 1994/1995)

    Particule sœur-reine (sur Voice of eye ; Mathias Richard à la production).



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Encores



Intrapoitrail, l’un des textes écrits, recopiés et affichés lors d’une exposition textes-photos sur l’autoportrait, avec le photographe Christophe Laurentin, dans le cadre des journées du patrimoine en 2005.


Eligeria, une couverture inédite de Loire sur Tours. Christophe Laurentin, Marie-Noëlle Morice, François Richard. Merci à Mathieu Amiot.


Et puis, témoin du Mutantisme, mouvement artistique créé par Mathias Richard. A découvrir absolument. Allez.



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F.R.

© textes et images l’auteur.